28 février 2008
si je me souviens bien
La chaise d' à côté est vide. Les murs se resserrent immédiatement jusqu'au coeur. Elle a chaussé les lunettes noires pour pouvoir marcher un peu. Ce n'est pas parce que la ville continue que les pas suivent. Le métro démarre. Il faut se perdre dans l'actualité du jour et les livres des autres.
Bientôt retrouver Ed et Mathilde et poursuivre l'écriture du reste. Le désir du reste. C'est toujours de cela qu'on renaît. Pendant que Paris hésite entre le gris et le lait, il s'agit de ne pas boire la tasse. Elle sert des mains aux feux rouges et construit ses plus beaux sourires, cela sauvra toujours l'affaire.
Qui ne croit pas au temps qui recouvre les matins ?
Bientôt retrouver Ed et Mathilde et poursuivre l'écriture du reste. Le désir du reste. C'est toujours de cela qu'on renaît. Pendant que Paris hésite entre le gris et le lait, il s'agit de ne pas boire la tasse. Elle sert des mains aux feux rouges et construit ses plus beaux sourires, cela sauvra toujours l'affaire.
Qui ne croit pas au temps qui recouvre les matins ?
22:35 Publié dans sans permission | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Ce n'est pas la bonne case, mais je n'ai trouvé que cet endroit pour te dire ce que j'en pense. Bravo. En fait c'est plus à Gisse que ça s'adresse. Je suis impréssionné par les 2 dessins que je viens de voir et dieu sait que je me laisse peut impressionner. Allez, il faut reconnaitre que le texte est une vrai matière à tailler les crayons, user des mines hb, mettre en relief cette bande de fous guerriers (j'ai oublié le nom des frères russe ; j'attends de voir leur ganache)... Alors je rends à mri ce qui appartient à mri. Et j'attends aussi avec impatiente l'empilement... Bonne aventure
Écrit par : benzine | 12 mars 2008
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