07 octobre 2009
il fallait y penser
Au matin, deux qui volaient ne volaient plus. Ils flottaient à la surface d’une eau qui avait dû leur sembler clémente. Je les mis quelques heures sous le soleil nouveau et attendais pour voir mais rien. Rien de plus que leurs couleurs mêlées aux miennes.
Ils ne partiraient plus.C’est ici à présent qu’ils nageaient, et peine à ceux qui croient que papillon ne devient pas poisson.
Peine à ceux là.
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