29 mars 2011
sorry
j'ai fait une certaine rétention des textes des Polaroids que je lis chaque matin. je vais faire une livraison très bientôt d'un seul coup, séance de rattrapage. je sais pas faire autrement. ça signe l'exacte rythme de ma disponibilité numérique. c'est assez signifiant au final.
qui avait dit que je parlerais pas pour de vrai. moi. et alors. qu'est-ce qu'on fait maintenant.on change rien.
17:47 | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Signifiant, forcément signifiant. Dommage, l'arrivée progressive des polaroids, qu'on n'a pas toujours eu l'occasion d'écouter, c'est comme des sucreries qu'on savourerait tranquillement, une à la fois . Trop de sucre d'un seul coup, c'est forcément moins bon. Mais OK Marie, pas grave. Le truc ce sera de ne pas les lire tous à la fois, d'en garder un peu pour le lendemain. Sauf que pour les bonbons non plus, je ne suis pas capable de faire ça.
Écrit par : Serval | 29 mars 2011
Après la lecture ici de plusieurs pages 'numériques', puisque le mot est lancé, j'ai décidé de croire en vous. Décidé de croire que cette poésie vient d'une personne. Et qu'elle est belle, semée de fulgurance, de petites bonnes idées, d'immenses trouvailles ; comme il faut toujours pour se rassasier dans cette longue marche.
J'ai décidé de contrecarrer un peu ma vision poétique : ou plutôt d'en croire à nouveau possible une expression actuelle. Encore une fois.
Je ne vous écoute pas le matin : mon existence reprend petit à petit l'habitude de se lever à 7h, et c'est déjà un triomphe !
Je vous "balado-diffuse" et, sans vouloir faire de la peine au monde, j'en exclus au début les 5 minutes de nouvelles, je peux en comprendre l'utilité à 6h02, mais pas à l'heure où je balado-diffuse !
Je ne vous écoute pas le matin mais je vais vous lire, souvent et vous écouter aux moments propices. (ce matin, notamment, je vous lis après des poèmes de Rilke, dont l'absolue vision peut trouver écho)
(par un des hasards de l'emploi du temps, j'écoutais France Q le matin de la rentrée (cet heureux matin du retour de Marc Voinchet !) ; j'ai donc entendu vos premiers mots, avec l'impression d'assister à un vrai moment : l'arrivée d'une poésie vivante et à vivre)
Effectivement, la note monte encore : 19.1/20
Écrit par : Merlin | 02 avril 2011
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