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13 juillet 2012

tout court

il faut défendre le plus simplement possible l'idée, la nécessité d'une pensée complexe. 

et, naturellement, la pensée complexe elle-même.

Commentaires

Entièrement d'accord. Mais combien sommes-nous?

Écrit par : Marie Alster | 16 juillet 2012

Depuis l'aube des temps, l'Homme croit toujours être seul et vulnérable la nuit.
Pour se rassurer, peut-être, il n'a de cesse de chercher le lumière au dehors (dans tous les outils modernes de son époque...) et à grand bruit.
En fait, il oublie continuellement et inlassablement la lueur intérieure qui perce faiblement par ses yeux.
En fermant ceux-ci, même et surtout la nuit, la conscience accède à cette lumière intérieure qui lui permettra, ensuite et grâce à d'autres interactions avec ses semblables, de développer cette pensée complexe.

En fait, fermer les yeux (et les oreilles? et le nez? et la peau?) au monde quelques instants, quelques heures, puis les ouvrir à nouveau et raconter, partager ce que l'on a vécu à l'intérieur... C'est peut-être cela la pensée complexe. Et peut-être pas du tout.

Je pense, Marie, que nous sommes bien plus nombreux que nous (vous) le pensons(ez). Seulement, nous sommes moins bruyant. Nous sommes disséminés aux quatre vents, ainsi que des points d'acuponcture sur des méridiens : distants mais toujours connectés par quelque moyen, silencieux mais incroyablement expressifs de par les effets produits, toujours dans le même but : l'osmose du corps avec son environnement et réciproquement.

Comme quoi la complexité et amusante : j'ai voulu faire court, tout court, et j'ai fait long, très long, trop long?

Écrit par : Frédéric | 01 septembre 2012

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