12 février 2016
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"Tant que la misère existe, vous n'êtes pas riches. Tant que la détresse existe, vous n'êtes pas heureux. Tant que les prisons existent, vous n'êtes pas libres."
13:10 | Lien permanent | Commentaires (3)
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"Tant que la misère existe, vous n'êtes pas riches. Tant que la détresse existe, vous n'êtes pas heureux. Tant que les prisons existent, vous n'êtes pas libres."
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Commentaires
C'est drôle, très récemment j'ai pensé t'écrire pour te recommander ce film. Il y a à la fin un très beau témoignage d'un jeune homme d'origine algérienne, sincère, lucide, poignant, qui même aujourd'hui (aujourd'hui plus que jamais ?) résonne comme une évidence.
Écrit par : chéribibi | 12 février 2016
On a détecté des ondes gravitationnelles. Doivent-elles nous transmettre l'urgence du temps ou bien à l'instar de Nietzsche, nous disent-elles que tout est éternel retour, le présent est con-dansant dans le passé et le futur...? Condenser la matière ou l'esprit du temps c'est les rendre sujets à la gravité... alors que l'humour habille de légèreté. Et je ne sais toujours pas lesquels des deux attributs choisir tant qu'existeront les contradictions que vous pointez.
http://exanimer.hautetfort.com/
Si vous avez le temps, merci de commenter... une autre perception d'esthète urgentiste ne peut que rasséréner.
Écrit par : François | 12 février 2016
Pour conclure cette semaine d'émissions consacrée à LA RUE, j'ai pensé à ce très beau clip de Jazzy Bazz. Ça s'appelle 64 mesures de Spleen.
https://www.youtube.com/watch?v=RsHYz1YpQKI
Écrit par : chéribibi | 14 février 2016
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