24 janvier 2013
historiquementhistoriquementhistorique_j'écris actuellement sur Achille
Comme un prologue, une préface nécessaire à la suite, je voulais déposer en gage, cette première phrase, je voulais mettre à l’entrée de ce que nous bâtirions, fut-ce le plus fragile du monde sur les plus fragiles fondations J’aime ton prénom J’aime le prononcer, j’aime le lire. J’aime comment tu te nommes.
Je commence par aimer l'essence, sans connaître l’histoire, sans connaître l’habit, sans connaître presque le fond du regard, j’aime le plus déterminant que je peux, ce qui nomme le plus et depuis le début = le prénom, et après on verra. J'aime à la base, à l’os, sans les muscles, à l’origine si possible. Après on verra. Après on s'éteindra doucement. Les gens ils prennent tout leur temps pour s'éteindre. Les gens s'éteignent. C'est pas inutile de commencer par brûler.
Mon prénom c'est un cheval de Troie
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23 janvier 2013
[...] edouard [...] à lille [...] levé [...] rien meurt
Le jour m'éblouit, Le soir m'apaise, La nuit m'enveloppe.
[...]
Le mal me surprend, L'oubli me manque, Le rire me sauve.
[...]
L'équilibre me tient, La chute me révèle, Le rétablissement me coûte.
[...]
Le temps me manque, L'espace me suffit, Le vide m'attire.
[...]
Le bord me tente, Le trou m'aspire, Le fond m'effraie.
Le vrai m'émeut, L'incertain me gêne, Le faux me fascine.
Le bavardage m'égare, La polémique m'enflamme, Le silence me rachète.
L'obstacle m'élève, L'échec m'endurcit, Le succès m'adoucit.
[...]
Le sermon m'irrite, L'exemple me persuade, L'acte me prouve.
[...]
Savoir me grandit, Ignorer me nuit, Oublier me libère.
Nier me tente, Affirmer m'exalte, Suggérer me contente.
[...]
Dire m'engage, Ecouter m'apprend, Taire me tempère.
Naître m'advient, Vivre m'occupe, Mourir m'achève.
La fatigue me calme, La lassitude me décourage, L'épuisement m'arrête.
[...]
Le groupe m'oppresse, La solitude me tient, La folie me guette.
La règle me serre La contrainte me stimule L'obligation m'éteint
LE DESIR ME REPREND
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