05 février 2010
monmythe
On croit chercher quelque chose de lumineux et d’originel, on actualise le regard, freinant la mise à feu des moteurs. Mais il est une chose, précieuse et seule, qui semble être le noyau. Par delà laquelle nous allons et pour laquelle nous suons. Une chose noueuse et certainement gluante, tout comme l’est la cellule, en perpétuelle mutation, se scindant de toutes parts, sans perdre l’unité. C’est à partir de là, justement, que l’on parle.
12:32 Publié dans sans permission | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marie richeux
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