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19 novembre 2012

salut salut

distendue, puis, pivot sur moi-même, côte de la Fayette en danseuse, je pense à celui qui, qui dans deux heures ne dort jamais, j’aime la nuit interdite, je signe aussi s’agissant de la préférence pour le singulier, je signe encore, et encore, mais tais mon nom. c’est pas pareil quoi qu’on en dise, je travaille les flous, au gros pinceau, je travaille, j'étudierai jusqu'au bout, je signe, mais silence. distendue, puis pivot sur moi-même, je tends le genou après la cuisse, je retrouve l’écriture, je prends la flute, je fais semblant que je t’aime plus ou autrement mais je pédale. j’aime  interdite, la nuit j’aime p

aris ensauvagé malgré les peurs au fond de la gorge, pivot sur moi, je les regarde, salut, lui il a trois despé dans le ventre depuis l’aube, elle, elle a les mêmes et deux paquets à cinquante cents, ils prennent la flute ils font semblant qu’ils n’ont pas mal, moi j’ai leur âge, salut, salut, salut, salut, salut,


je prends leur flute

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