Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

08 février 2013

question

immédiatement et de manière radicale nous fûmes beaux. si chacun de nos états sont ultimes, et si cette idée n'enlève en rien la possibilité du mouvement, il s'agit de se hisser à la hauteur de nos beautés, tout en chérissant ce savoir qui dit que nos beautés sont mouvantes. alors les heures d'errance ne sont pas des heures perdues. ce sont des heures pendant lesquelles explorer l'espace qui nous sépare de notre prochain. notre prochain tout court. et notre être prochain. il faut passer la main entre la capuche bleu clair et la joue, parce que là, il y a du jour, il y a du jeu entre les planches, là, il y a du présent, il y a de quoi nourrir les heures et l'espace entre les mots. il s'agit de se hisser à la hauteur de nos beautés, dans le déplacement et la danse. car c'est aussi l'escabot chancelant du désir. d'où vient l'émotion.

Commentaires

merci et chapeau bas

Écrit par : iris | 09 février 2013

Les commentaires sont fermés.