En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Je ne t'ai pas écoutée aujourd'hui. C'est comme s'il m'était temporairement impossible de m'échapper du réel, comme si j'étais collé à "ça", l'actualité sidérante à laquelle je n'arrive pas à croire, je pense que Cabu et Wolinski vont sortir de leur cachette en se marrant comme des baleines, parce que tuer Cabu, ces mots "tuer Cabu", ça ne se peut pas, ça ne colle pas, ça n'entre pas dans le réel possible, Cabu qui était l'homme le plus doux du monde avec sa tête d'ado éternel.
Je pleure parce qu'il semble que le réel soit réellement réel.
:-/
C'est comme si on avait tué la part d'enfance, d'adolescence encore en moi...
Oui, tuer le "grand duduche", ça ne se peut pas et pourtant.
Cabu, je l'avais croisé il y'a quelques années devant la comédie française et j'avais eu droit à un énorme sourire, simplement parce que je l'avais regardé et n'osais pas lui demander un autographe.
J'étais juste un passant qui passe, aussi timide que lui.
Et puis tous les autres.
Si triste
Continuer à se battre, pour eux, pour nous tous.
Avec nos armes à nous: les mots,la musique,le dessin, la peinture et tous ce qui fais sens à notre humanité la plus profonde...
Commentaires
Je ne t'ai pas écoutée aujourd'hui. C'est comme s'il m'était temporairement impossible de m'échapper du réel, comme si j'étais collé à "ça", l'actualité sidérante à laquelle je n'arrive pas à croire, je pense que Cabu et Wolinski vont sortir de leur cachette en se marrant comme des baleines, parce que tuer Cabu, ces mots "tuer Cabu", ça ne se peut pas, ça ne colle pas, ça n'entre pas dans le réel possible, Cabu qui était l'homme le plus doux du monde avec sa tête d'ado éternel.
Je pleure parce qu'il semble que le réel soit réellement réel.
:-/
Écrit par : Le_M_Poireau | 08 janvier 2015
C'est comme si on avait tué la part d'enfance, d'adolescence encore en moi...
Oui, tuer le "grand duduche", ça ne se peut pas et pourtant.
Cabu, je l'avais croisé il y'a quelques années devant la comédie française et j'avais eu droit à un énorme sourire, simplement parce que je l'avais regardé et n'osais pas lui demander un autographe.
J'étais juste un passant qui passe, aussi timide que lui.
Et puis tous les autres.
Si triste
Continuer à se battre, pour eux, pour nous tous.
Avec nos armes à nous: les mots,la musique,le dessin, la peinture et tous ce qui fais sens à notre humanité la plus profonde...
Écrit par : dolphindance | 09 janvier 2015
Les commentaires sont fermés.