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Eurêka! Je fais le lien avec le billet précédent, le descendant d'oiseau, c'est l'avion, mais ce que je trouve inquiétant c'est qu'on le fait voler avec des ailes cassées, c'est pas prudent ça!
C 'est curieux car cette photo m'évoque la pochette du dernier album de Jacques Brel et particulièrement la toute dernière chanson qui parle plutôt de la mer.
Ceci dit, il fut aussi aviateur à la fin de sa vie.
Tout se rejoint alors en un horizon lointain,
une ligne bleue perdue quelque part...
Les marquises
Ils parlent de la mort comme tu parles d´un fruit
Ils regardent la mer comme tu regardes un puits
Les femmes sont lascives au soleil redouté
Et s´il n´y a pas d´hiver, cela n´est pas l´été
La pluie est traversière, elle bat de grain en grain
Quelques vieux chevaux blancs qui fredonnent Gauguin
Et par manque de brise, le temps s´immobilise
Aux Marquises
Du soir, montent des feux et des points de silence
Qui vont s´élargissant, et la lune s´avance
Et la mer se déchire, infiniment brisée
Par des rochers qui prirent des prénoms affolés
Et puis, plus loin, des chiens, des chants de repentance
Et quelques pas de deux et quelques pas de danse
Et la nuit est soumise et l´alizé se brise
Aux Marquises
Le rire est dans le cœur, le mot dans le regard
Le cœur est voyageur, l´avenir est au hasard
Et passent des cocotiers qui écrivent des chants d´amour
Que les sœurs d´alentour ignorent d´ignorer
Les pirogues s´en vont, les pirogues s´en viennent
Et mes souvenirs deviennent ce que les vieux en font
Veux-tu que je te dise : gémir n´est pas de mise
Aux Marquises
Jacques Brel
Écrit par : dolphindance | 02 février 2015
Mon Dieu, encore pire, un avion sans ailes!
"Un presque rien qui est devenu un presque tout", de Charlelie.
Commentaires
Eurêka! Je fais le lien avec le billet précédent, le descendant d'oiseau, c'est l'avion, mais ce que je trouve inquiétant c'est qu'on le fait voler avec des ailes cassées, c'est pas prudent ça!
Écrit par : misquette | 01 février 2015
C 'est curieux car cette photo m'évoque la pochette du dernier album de Jacques Brel et particulièrement la toute dernière chanson qui parle plutôt de la mer.
Ceci dit, il fut aussi aviateur à la fin de sa vie.
Tout se rejoint alors en un horizon lointain,
une ligne bleue perdue quelque part...
Les marquises
Ils parlent de la mort comme tu parles d´un fruit
Ils regardent la mer comme tu regardes un puits
Les femmes sont lascives au soleil redouté
Et s´il n´y a pas d´hiver, cela n´est pas l´été
La pluie est traversière, elle bat de grain en grain
Quelques vieux chevaux blancs qui fredonnent Gauguin
Et par manque de brise, le temps s´immobilise
Aux Marquises
Du soir, montent des feux et des points de silence
Qui vont s´élargissant, et la lune s´avance
Et la mer se déchire, infiniment brisée
Par des rochers qui prirent des prénoms affolés
Et puis, plus loin, des chiens, des chants de repentance
Et quelques pas de deux et quelques pas de danse
Et la nuit est soumise et l´alizé se brise
Aux Marquises
Le rire est dans le cœur, le mot dans le regard
Le cœur est voyageur, l´avenir est au hasard
Et passent des cocotiers qui écrivent des chants d´amour
Que les sœurs d´alentour ignorent d´ignorer
Les pirogues s´en vont, les pirogues s´en viennent
Et mes souvenirs deviennent ce que les vieux en font
Veux-tu que je te dise : gémir n´est pas de mise
Aux Marquises
Jacques Brel
Écrit par : dolphindance | 02 février 2015
Mon Dieu, encore pire, un avion sans ailes!
"Un presque rien qui est devenu un presque tout", de Charlelie.
https://m.youtube.com/watch?v=ui3TmNySbdg
Écrit par : misquette | 04 février 2015
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