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05 avril 2015

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L’image de ces animaux qui lâchent, sans abandonner du tout, et comme avec l’intelligence dont témoignerait l’humour.
L’image d’un orage pas méchant, mais traître, tous les âges en même temps, et la manie, humaine, d’adresser à des êtres qu’elles ne concernent pas, des demandes forcément insensées. Quels gouffres cela créée quand il s’agit d’amour. Et de quoi pourrait-il s’agir autrement ?

 

Je voudrais êtres capable de faire un dessin simple pour tout ça.

Commentaires

Quelle splendeur ! Et ce n'est pas vain mot chez moi ! Ce texte (évidemment !) rappelle à ma mémoire une relation inachevée et me ferait presque crier printemps. De ce genre de cri qui vide l'ouïe. Ou qu'on pousse en s'abattant. Ce désir d'aimer en exclusivité... Il est des caresses profondes, et peut-être quelque extase irréel, auxquels les poètes seuls peuvent atteindre... Et nous communiquer.
Voilà qui fait écho en moi, cette voie de salut, ou de perdition selon qu'on l'envisage, une larme bonne à dévoiler l'oubli qui est retenu prisonnier, n'importe !
Je tiens pour certain que les secrets toujours seront intransmissibles qui naîtront d'une relation manquée, comme d'un texte tâtant nos destinées des plus reculées. Et, quand bien même, certains secrets ne doivent pas se voir dépouillés de leur pudeur, non ?

Et pour paraphraser l'à jamais regrettable quelqu'un, pour un instant seulement, merci à vos textes de m'avoir été si chers Madame Richeux !

Écrit par : Damien | 11 mai 2015

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