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29 janvier 2010

d'ici

dissipation du blanc pour étendre les toits

le manège se transforme en étrange poupée russe

l’excuse des fontaines c’est qu’il ne fait plus froid

je ne saurais pas dire plus

je t’aime dans un trou

20 janvier 2010

à bien y rélféchir, j'aime aussi celle avec les ailes.

FREHEL SEPTEMBRE 09 006.jpg

moi je veux bien jouer.

justement hier, il fallait rester au chaud. petit mail de laurent : tu joues ? ok je joue. Le principe :  Madame Zaiate lance un mot, d'autres ont quelques heures pour venir s'y cogner. Elle renvoie les échos et ceux qui veulent se mettent au travail écrivent quelques chose à partir de. Elle récupère les confitures et les publie sur son blog. http://rhizomonde.hautetfort.com/

Je vous fais part de ma première confiote. les mots obligés sont en gras.....


Oublie. Oublie. Oublie. Et tes sirène, tais-les.

Les trottoirs de la ville scandaient ça sous mes pieds, comme un ordre de l’au delà, une injonction secrète.

Quelque chose remontait des racines,

pauvres fils laissés

sur le bitume par les arbres

que danse la fin de l’automne.

quelque chose qui disait de la laisser derrière.

Petit coup d’œil discret à l’iphone, elle était loin déjà. Ce genre de femme vous quitte sans faire semblant, mettant le point à la ligne, comme un poing dans la gueule. Si la prochaineavenue donne sur la Seine je me jette dedans. Aïe Aïe Aïe, que n’invente-t-on pas comme procédés ridicules et désespérés pour conjurer l’amour. Cool Raoul, la Seine attendrait.

Il est dit que reviennent,

dans leur cortège de mystère,

éternité et béatitude.

Il est dit qu’elles referont surface

tant qu’il y aura dans l’homme

un espace pour aimer.

Soit.

Je la voyais encore, composée, complexe, puzzle profond et inatteignable, se prélasser le matin comme le soir, sur les draps défaits, jamais loin d’une tasse de thé brulant.

Je la voyais divine, déjouant toutes mes résistances, ne faiblissant pas, le nez aux vents contraires, riant de la stérilité de mes tirades.

La ville que je parcourais ne parvenait pas à l’épuiser. Elle était tenace. Elle appartenait au ciel. Son nom s’affichait en lettres fluorescentes à tous les coins de rue, et j’avais beau fermer les yeux, je croulais sous une montagne de souvenirs.

J’esquissais tout de même les contours d’un sourire en passant devant une enfilade de palais zen, à l’hypocrisie affichée. Nos villes débordaient de ce genre de campagnes. La sérénitéà tout prix et sans sens.

Je n’avais qu’un mot à leur répondre. Buvons, buvons encore, jusqu’à ce que l’oubli même, nous fasse vomir.




19 janvier 2010

sans hésitation

Celle que je préfère c’est celle avec les plumes

06 janvier 2010

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voeux 2010 copie.jpg

je vous souhaite


....oh grand merci fanfan pour le pliage, la promenade et le dernier plan.... !

video texte (c)mariericheux

si ça ne marche pas, on peut aussi par là :

http://www.youtube.com/watch?v=omSfcjVPDhA