29 janvier 2010
d'ici
dissipation du blanc pour étendre les toits
le manège se transforme en étrange poupée russe
l’excuse des fontaines c’est qu’il ne fait plus froid
je ne saurais pas dire plus
je t’aime dans un trou
18:10 Publié dans sans permission | Lien permanent | Commentaires (2)
20 janvier 2010
à bien y rélféchir, j'aime aussi celle avec les ailes.
16:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
moi je veux bien jouer.
justement hier, il fallait rester au chaud. petit mail de laurent : tu joues ? ok je joue. Le principe : Madame Zaiate lance un mot, d'autres ont quelques heures pour venir s'y cogner. Elle renvoie les échos et ceux qui veulent se mettent au travail écrivent quelques chose à partir de. Elle récupère les confitures et les publie sur son blog. http://rhizomonde.hautetfort.com/
Je vous fais part de ma première confiote. les mots obligés sont en gras.....
Oublie. Oublie. Oublie. Et tes sirène, tais-les.
Les trottoirs de la ville scandaient ça sous mes pieds, comme un ordre de l’au delà, une injonction secrète.
Quelque chose remontait des racines,
pauvres fils laissés
sur le bitume par les arbres
que danse la fin de l’automne.
quelque chose qui disait de la laisser derrière.
Petit coup d’œil discret à l’iphone, elle était loin déjà. Ce genre de femme vous quitte sans faire semblant, mettant le point à la ligne, comme un poing dans la gueule. Si la prochaineavenue donne sur la Seine je me jette dedans. Aïe Aïe Aïe, que n’invente-t-on pas comme procédés ridicules et désespérés pour conjurer l’amour. Cool Raoul, la Seine attendrait.
Il est dit que reviennent,
dans leur cortège de mystère,
éternité et béatitude.
Il est dit qu’elles referont surface
tant qu’il y aura dans l’homme
un espace pour aimer.
Soit.
Je la voyais encore, composée, complexe, puzzle profond et inatteignable, se prélasser le matin comme le soir, sur les draps défaits, jamais loin d’une tasse de thé brulant.
Je la voyais divine, déjouant toutes mes résistances, ne faiblissant pas, le nez aux vents contraires, riant de la stérilité de mes tirades.
La ville que je parcourais ne parvenait pas à l’épuiser. Elle était tenace. Elle appartenait au ciel. Son nom s’affichait en lettres fluorescentes à tous les coins de rue, et j’avais beau fermer les yeux, je croulais sous une montagne de souvenirs.
J’esquissais tout de même les contours d’un sourire en passant devant une enfilade de palais zen, à l’hypocrisie affichée. Nos villes débordaient de ce genre de campagnes. La sérénitéà tout prix et sans sens.
Je n’avais qu’un mot à leur répondre. Buvons, buvons encore, jusqu’à ce que l’oubli même, nous fasse vomir.
16:02 Publié dans sans permission | Lien permanent | Commentaires (4)
19 janvier 2010
sans hésitation
Celle que je préfère c’est celle avec les plumes
18:19 Publié dans sans permission | Lien permanent | Commentaires (0)
06 janvier 2010
2 0 1 0
20:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
je vous souhaite
....oh grand merci fanfan pour le pliage, la promenade et le dernier plan.... !
video texte (c)mariericheux
si ça ne marche pas, on peut aussi par là :
20:42 Publié dans sans permission | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : marie richeux, voeux 2010