13 avril 2010
à trop vouloir nous presser
j'irai bien sûr
serre le béton
les tempes en tremblent sous les étaux
le nez coincé dans l'oreiller qui ne désemplit pas
c'est étonnant que jamais
.
enfin tellement cachée
cette lumière jaune me revienne encore
.
tout comme un sac à dos
ou mes chaussures lassées
ferait partie de l'équipement
.
11:25 Publié dans sans permission | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marie richeux
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