02 juillet 2012
de la danse impossible à réduire
c’estcommeretournerlesablieretpiétinerd’impatience,regarderlesablepasserdel’autre côté,considérerqu’ilvalentement.c’estcommeallumerunecigaretteaprèsenavoiréteins une,c’estcommeconsumertouttropviteettrouverquecelavalentement.
c’estunpeudesoleiltroptôtdanslespersiennes,c’estdelahâteaucœur, c’estcommel’heurede lapiscine, l’heuredelapatinoire,c’estcommelejourd’anniversaire,c’estcommed’avoironze ansdeuxfois,c’estcommetrouverlebonaccord,labonnenote.c’estl’herbedanslabouche.
c’estcommeunedanseimpossibleàréduire.c’estcommeunetranseimpossibleàtenir.cesont lestrottoirsmouillésdelavilleàpoil,lavoixaiguedecetaxi,cesrêvesenbouclepartéléphone, c’estcommelenomquis’affiche,tonnomquis’affiche. c’estlavoixmouilléepartéléphone.
c’estcommelesoleilvenutroptôtdanslespersiennes.avoironzeans.c’estcommeavoirmille foisonzeans.c’estcommetoutdébrancherenkickantlaprise.c’esttrouverl’énergiedutourde piste,etagrandirla piste.c’estcommeretournerlesablierdansl’autresensettrouverquele
sable coule lentement.
23:52 | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
Pourquoi mettre une ponctuation et pas d'espace? C'est bizarre.
Écrit par : rebelle et vulgaire | 03 juillet 2012
Et pourquoi pas ?
Écrit par : rap tircÉ | 03 juillet 2012
Ces poèmes récents sont rondement menés. Y'a une vitesse qui se juxtapose aux idées. Non vraiment : très beau. Je m'excuse de faire mon prof mais j'suis parfois comme ça, je juge aussi en fonction de mes affects.
Écrit par : Mikel | 05 juillet 2012
Car l'arc est toujours crispé sur la flêche. Lorsqu'il se détend, la flêche va vite (parole d'Indien).
Écrit par : Mikel | 14 juillet 2012
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