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Bonjours, un extrait d'un texte de David Herbert Lawrence , quand je l'ai relu, j'ai pensé à vous, (sans vouloir faire de mystères, ce qui est cocasse c'est que je ne sais absolument pas pourquoi, j'en déduis que c'est le texte qui veut aller vers vous!) donc je vous restitue: "Tout semble lentement pivoter vers un point central: les nuages, les montagnes environnantes, la poussière soulevée, les grand beaux éperviers striés de blanc (gabilanos)et jusqu'aux fleurs, flocons neigeux sur l'arbre blafard: le Palo banco. Meme les cactus dressés en touffes raides semblent lentement pivoter vers un centre tout proche. Curieux que nous pensions par lignes droites, alors que toute voie, tot ou tard, arrive à faire le tour et retombe au centre. L'espace est courbe, le cosmos est sphère dans d'autre sphère, et le chemin d'un point à un autre suis la courbe de l'inévitable qui tourne et monte, comme le bout des ailes de l'épervier, appuyées sur l'air ainsi que sur l'invisible moitié de l'ellipse. Quel que soit mon chemin, il décrira une courbe qui inclinera vers le centre. Toute voie droite blesse et déchire. Elle va contre la volonté du monde."
C'est dans "Pensées mexicaine".
Commentaires
Le plaisir de voir l'étoile Rilke, et entendre les notes sur la mélodie. Lecture peut-être un peu rapide.... m'enfin, je trouve.
Écrit par : Merlin. | 23 juin 2015
Sans la moindre prétention, comme une réponse : https://youtu.be/yUR7gzdjYIA
Écrit par : Merlin. | 23 juin 2015
Bonjours, un extrait d'un texte de David Herbert Lawrence , quand je l'ai relu, j'ai pensé à vous, (sans vouloir faire de mystères, ce qui est cocasse c'est que je ne sais absolument pas pourquoi, j'en déduis que c'est le texte qui veut aller vers vous!) donc je vous restitue: "Tout semble lentement pivoter vers un point central: les nuages, les montagnes environnantes, la poussière soulevée, les grand beaux éperviers striés de blanc (gabilanos)et jusqu'aux fleurs, flocons neigeux sur l'arbre blafard: le Palo banco. Meme les cactus dressés en touffes raides semblent lentement pivoter vers un centre tout proche. Curieux que nous pensions par lignes droites, alors que toute voie, tot ou tard, arrive à faire le tour et retombe au centre. L'espace est courbe, le cosmos est sphère dans d'autre sphère, et le chemin d'un point à un autre suis la courbe de l'inévitable qui tourne et monte, comme le bout des ailes de l'épervier, appuyées sur l'air ainsi que sur l'invisible moitié de l'ellipse. Quel que soit mon chemin, il décrira une courbe qui inclinera vers le centre. Toute voie droite blesse et déchire. Elle va contre la volonté du monde."
C'est dans "Pensées mexicaine".
Écrit par : avio | 17 juillet 2015
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